Le dispositif de veille et de riposte contre le virus Ebola a été notifié aux professionnels de santé des secteurs public et privé, a appris APA de source bien informée.
Une note circulaire du ministère de la Santé a été émise le 3 octobre aux professionnels du secteur public et privé relative à la procédure de détection et de notification d’un cas suspect de maladie à virus Ebola.Dans ce document, le ministère appelle les professionnels de la santé à considérer comme cas suspect les patients qui répondent à deux critères à savoir la fièvre supérieure à 38° isolée ou associée avec des signes comme la faiblesse intense, les douleurs musculaires, céphalées, les vomissements, la diarrhée et les hémorragies ; mais surtout que le patient en question ait séjourné, dans les 21 jours précédent le début des symptômes, dans l’un des pays touchés par l’épidémie (Guinée Conakry, Libéria, Sierra Leone ou Nigeria).
Face à ce genre de cas, la circulaire détaille la procédure à suivre qui prévoit notamment un isolement immédiat et la limitation des intervenants auprès du patient au strict minimum nécessaire à sa prise en charge, avant de le transférer dans une unité médicale dédiée en coordination avec le délégué du ministère de la santé de la préfecture ou la province concernée.
Le Maroc a mis en place un plan de riposte pour faire face au virus Ebola, qui fait des ravages en Afrique de l’Ouest avec plus de 3.400 morts sur 7.478 cas confirmés, selon les derniers chiffres de l’OMS.
Ce plan, qui requiert l’implication de tous les intervenants, Gendarmerie Royale, Office des aéroports, Office des ports, services de contrôle des frontières et la Royal Air Maroc, s’articule autour de deux mesures consistant à éviter l’introduction de cette maladie et à détecter et analyser les risques.
Source : http://fr.starafrica.com
Une note circulaire du ministère de la Santé a été émise le 3 octobre aux professionnels du secteur public et privé relative à la procédure de détection et de notification d’un cas suspect de maladie à virus Ebola.Dans ce document, le ministère appelle les professionnels de la santé à considérer comme cas suspect les patients qui répondent à deux critères à savoir la fièvre supérieure à 38° isolée ou associée avec des signes comme la faiblesse intense, les douleurs musculaires, céphalées, les vomissements, la diarrhée et les hémorragies ; mais surtout que le patient en question ait séjourné, dans les 21 jours précédent le début des symptômes, dans l’un des pays touchés par l’épidémie (Guinée Conakry, Libéria, Sierra Leone ou Nigeria).
Face à ce genre de cas, la circulaire détaille la procédure à suivre qui prévoit notamment un isolement immédiat et la limitation des intervenants auprès du patient au strict minimum nécessaire à sa prise en charge, avant de le transférer dans une unité médicale dédiée en coordination avec le délégué du ministère de la santé de la préfecture ou la province concernée.
Le Maroc a mis en place un plan de riposte pour faire face au virus Ebola, qui fait des ravages en Afrique de l’Ouest avec plus de 3.400 morts sur 7.478 cas confirmés, selon les derniers chiffres de l’OMS.
Ce plan, qui requiert l’implication de tous les intervenants, Gendarmerie Royale, Office des aéroports, Office des ports, services de contrôle des frontières et la Royal Air Maroc, s’articule autour de deux mesures consistant à éviter l’introduction de cette maladie et à détecter et analyser les risques.
Source : http://fr.starafrica.com
